La police politique recommence la surveillance autour du Capitole de Cuba
LA HAVANE, le 29 novembre (Oswaldo de Cespedes, CPI) Le Département de Sûreté de l'Etat (DSE), craignant que la marche convoquée dans cette capitale par les dissident le 25 novembre dernier seffectue un autre jour, sest vu obligé à
recommencer lopération militaire autour du Capitole.
En ce lieu on a pu voir les Brigades de Réponse Rapide (groupes paramilitaires qui paraissent être le peuple), avec les officiers et agents du DSE patrouillaient les zones comprises entre le Parc de la Fraternité et le Parc Central, trajet compris dans la convocation des
opposants au régime de Fidel Castro pour protester pour les plus de 40 ans doccupation du pouvoir.
Comme le 25, la police politique et les Brigades de Réponse Rapide ont arrêté et expulsé de la zone du Parc de la Fraternité tous les membres de la dissidence quils ont détecté dans les lieux. Quelques-uns des détenus ont été
sortis de cet endroit dans des automobiles du DSE, a déclaré à la CPI le président de la Ligue Civique Marti, William Herrera Diaz.
Herrera, qui fut lun des détenus, a expliqué qualors quil se dirigeait vers le Parc de la Fraternité, un officier qui dit sappeler Jorge la intercepté, et quen plus de violer ses droits comme citoyen a indiqué Herrera
en lui empêchant la liberté de mouvement dans les rues de son pays dorigine, il la aussi maltraité en paroles, en utilisant un vocabulaire méprisant.
Apres le mauvais traitement, le président de la LCM a été mis dans un véhicule militaire qui la transféré vers la municipalité de son domicile, 10 Octobre. Une fois là Herrera a été libéré.
William Herrera a conclu en disant emphatiquement. «Les rues de Cuba nappartiennent pas seulement aux dits révolutionnaires, mais de tous ceux qui avec honneur exige ses droits et libertés».
Traduction: Genevieve Tejera
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