Les déclarations du gouvernant crée des expectatives d'un possible exode massif
PINAR DEL RIO, le 6 décembre (Victor Rolando Arroyo, UPECI) – Un sondage officieux réalisé samedi soir 4 décembre et dans la matinée du dimanche 5 dans la ville de Pinar del Rio, montre que 82% des personnes interrogées sont d'accord pour dire que
le régime cubain cherche à lier la dispute actuelle pour le petit naufragé avec les accords migratoires.
Parmi ceux qui pensent de cette façon, la majorité s'incline pour la possibilité que le régime ouvre ses côtes à un nouvel exode massif et assure que la situation nationale est si tendue que ce serait une option commode pour le gouvernement, comme il est
de tradition. De nombreux jeunes, pour leur part, disent qu'ils sont «à l'expectative », puisque si cela arrivait ils se lanceraient à la mer ou appelleraient leurs familles à Miami pour qu'ils viennent les chercher.
Devant l'information du gouvernant cubain disant que le cas de l'enfant a une priorité numéro «un », presque 60% des personnes interrogées a montré son désaccord et ont indiqué que ce thème pourrait être traité par des
fonctionnaires intermédiaires et que les personnages les plus importants du gouvernement devraient se dédier à résoudre les problèmes pressés qui affectent la population.
L'ultimatum du gouvernant cubain de 72 heures pour que la dévolution de l'enfant soit annoncé a alarmé presque toute la population. « Quelque chose se trame… il se peut que les affrontements traditionnels Cuba-USA, qui en général arrivent l'été,
trouvent cet hiver une nouvelle scène », pense un vieil activiste syndical aujourd'hui éloigné de toute activité publique, qui ajouta que le dit affrontement passerait «avec plus de peines que de gloire, pour suive notre pénible marche à reculons…
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Traduction: Genevieve Tejera
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