Sans solution
les fuites d’excréments et d’urine
LA HAVANE, le 30 septembre (Fara Armenteros, UPECI / www.cubanet.org) - Le délégué
du Pouvoir Populaire du village de Bolondrón, situé dans la
municipalité Pedro Betancourt de la province de Matanzas, dit que l’existence
de nombreuses fuites d’excréments et d’urine dans cette localité
ne peuvent pas se solutionner du au manque de pétrole.
Les résidents de Bolondrón courent le risque d’attraper
plusieurs maladies infecto-contagieuses parce que les fosses pleines qui ne sont
pas vidées régulièrement et les bouchons dans celles-ci
causent la fuite des déchets qu’elles contiennent.
A l’antérieur on ajoute la contamination de l’environnement
et la pestilence que génère l’exposition des excréments
humains à l’intempérie.
"Le foyer infectieux se concentre dans les rues 8, 10, 21 et 23 de
Bolondrón, où quelques 80 familles sont les plus affectées
par les fuites de ces fosses", a précisé Juan Felipe de la
Torre, activiste du Mouvement Indépendant Option Alternative qui habite
dans la zone.
Le délégué du Pouvoir Populaire (gouvernement local),
Esteban Hernández Martel, a manifesté qu’il n’a pas de pétrole
pour fournir le camion et les équipements utilisés dans le débouchage
et le vidage des fosses sanitaires.
"Il n’y a pas de combustible pour solutionner les problèmes
auxquels fait face la population, mais si pour réaliser ces mobilisations
politiques qu’ils appellent tribunes ouvertes et autres activités
qui sont de l’intérêt du gouvernement", s’est plaint
un résident de Bolondrón qui a demandé l’anonymat.
LA HAVANE, le 30 septembre (Fara Armenteros, UPECI / www.cubanet.org) - Le délégué
du Pouvoir Populaire du village de Bolondrón, situé dans la
municipalité Pedro Betancourt de la province de Matanzas, dit que l’existence
de nombreuses fuites d’excréments et d’urine dans cette localité
ne peuvent pas se solutionner du au manque de pétrole.
Les résidents de Bolondrón courent le risque d’attraper
plusieurs maladies infecto-contagieuses parce que les fosses pleines qui ne sont
pas vidées régulièrement et les bouchons dans celles-ci
causent la fuite des déchets qu’elles contiennent.
A l’antérieur on ajoute la contamination de l’environnement
et la pestilence que génère l’exposition des excréments
humains à l’intempérie.
"Le foyer infectieux se concentre dans les rues 8, 10, 21 et 23 de
Bolondrón, où quelques 80 familles sont les plus affectées
par les fuites de ces fosses", a précisé Juan Felipe de la
Torre, activiste du Mouvement Indépendant Option Alternative qui habite
dans la zone.
Le délégué du Pouvoir Populaire (gouvernement local),
Esteban Hernández Martel, a manifesté qu’il n’a pas de pétrole
pour fournir le camion et les équipements utilisés dans le débouchage
et le vidage des fosses sanitaires.
"Il n’y a pas de combustible pour solutionner les problèmes
auxquels fait face la population, mais si pour réaliser ces mobilisations
politiques qu’ils appellent tribunes ouvertes et autres activités
qui sont de l’intérêt du gouvernement", s’est plaint
un résident de Bolondrón qui a demandé l’anonymat.
Traduction: Genevieve Tejera
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