Merci aux amis du peuple cubain ! Merci, CubaNet !
Reinaldo Cosamo Alén
LA HAVANE, le 10 janvier – J'ai reçu à Noël, au Nouvel An et les jours suivants une grande et unique allégresse. Presque chaque jour venait à ma porte le facteur avec une poignée de cartes de vœux, qu'après avoir regardées et lues,
j'ai accumulé sur un coin de ma table de travail. Il y en a déjà des douzaines. Elles démontrent que la cause du peuple cubain pour être libre et vivre en démocratie, bat dans beaucoup de cœurs hors de Cuba.
Arrivées de toutes les parties du monde, bien que particulièrement de compatriotes résidents des Etats Unis, m'offrent un message affectueux comme Newsmama, qui malheureusement ne m'a pas donné son adresse. Je désire «que votre labeur continue à
traverser les frontières ». C'est notre but réel : contribuer avec tant d'autres frères à ce que le monde entier connaisse la vrai Cuba, celle de l'intérieur, celle qui ne figure pas sur les posters touristiques.
Pedro Monge Rafuls, de New York, exprime : « Je souhaite que ce siècle qui commence nous apporte tous les bons rêves qui nous animent ». Et quel meilleur rêve que la libération et la démocratisation de la patrie, dans laquelle règne le respect
des droits de l'homme ? Un rêve cardinal sans lequel tous les autres rêves resteraient annulés.
De Roslindale, MA, l'impulsion vers le combat nous est offerte par Regla Gonzalez : « Continuez la lutte pour la démocratie ». Bien sûr, Regla !
Très sympathiques sont les mots affectueux d'un bon Cubain qui vit à New York, Celso González Faya. Celso, je partage ton espoir de l'arrivée du jour le plus agréable où notre patrie libre de dictature, comme tu le souhaites «nous pourrons boire un
petit café sous le chaud soleil de notre Ile ». Qui alors ne sera plus le mauvais breuvage d'un café adultéré avec des pois chiches, et qu'on nous vend aujourd'hui dans les épiceries, strictement rationné à quatre onces mensuelles par
consommateur. Caractérisation vivante des extrêmes auxquels la dictature a mené le peuple cubain qui souffre !
Jorge A. Sanguinetty, de Miami. A mon tour je te donne une accolade. Tu le dis bien : « Une année de plus de dictature, bien qu'en réalité, lorsque nous voyons que la fin approche, nous devrions dire c'est un an de moins qui reste au pire ennemi qu'a eu Cuba dans son
Histoire ».
Au médecin et ami Daniel Basulto Vergara, à Gastón et Mimi Daumy, à Héctor G. Tejera, à Lorenzo Fresneda, à… tant et tant de bons compatriotes auxquels je dois offrir mes excuses parce qu'il n'y a pas assez d'espace pour les mentionner tous,
et qu'avec une bonté égale m'ont écrit et envoyé leurs souhaits.
Merci aussi, j'ose dire, au nom de beaucoup d'autres collègues, qui ont également reçu des souhaits. Mais par dessus tout, MERCI POUR CUBA, COMPATRIOTES ! MERCI, AMIS DU MONDE ENTIER !
ET UN MERCI TRES SPECIAL A CUBANET ET SES TRAVAILLEURS DEVOUES, ARTISANS QUI ONT RENDU POSSIBLE CE PONT D'AMITIE ET D'ESPERANCE !
Traduction: Genevieve Tejera
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